
Il y a quelques jours, je vous expliquais qu’on lavait souvent des fringues qui n’avaient pas vraiment besoin de passer en machine. Eh bien il a suffi que je vous dise que je ne tachais que rarement mes habits pour que ça m’arrive. Il y a des jours comme ça où ça relève du gag.
Pour vous la faire courte, j’avais mis une jolie robe. (Si, si, c’est bien une robe sur la photo, même si ça n’en a pas l’air…) En fin de journée, à peu près tout sur la même zone, il y avait:
– une tache d’avocat. La faute au jus vert
– un peu de mon sandwich de midi
– un peu de bière
Quand je préparais mon bouquin, l’année dernière, une experte en tissus de la FRC m’avait donné ce conseil quand un vêtement est taché: ne laver que la tache et laisser le reste tranquille. Vous évitez ainsi de passer votre habit en machine (un truc qui n’en pas l’air mais qui est plus violent qu’on ne le pense pour nos fringues. Enfin surtout le sèche-linge). Vous évitez aussi la corvée repassage qui n’est pas toujours évidente avec une robe qui n’a pas l’air d’une robe… Quoi qu’avec ma station vapeur, ça deviendrait presque un plaisir tellement c’est hallucinant tellement c’est trop facile de défroisser même les tissus les plus délicats.
J’ai donc pris deux minutes pour humidifier la zone avant de la frotter avec du fiel de bœuf (mon détachant magique). On rince. On laisse sécher et le tour est joué.
Ça paraît relever du bon sens et pourtant je dois bien avouer que je ne le faisais pas…
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