
Période de Jeux Olympiques oblige, je vais parler sport. Je trouve que les grands sportifs sont souvent de grands philosophes. (Je ne parle pas des commentaires en-dessous de la ceinture de Candeloro!) Il est vrai que pour arriver au sommet, il vaut mieux avoir un mental en béton armé.
Ce week-end, plusieurs sportifs ont parlé du fait de ne pas retenir la chute ou l’échec quand ils en ont eu un/e. Ils ne regarderaient même pas les images de leur chute afin de ne pas rester sur une image négative et ne pas être polluer par l’idée d’échouer. L’important: ce qu’il y a devant.
C’est vrai que pour réussir une course, on ne voit jamais un coureur regarder en arrière. Pendant la course de ski de bosses de ce week-end, j’ai même appris qu’ils regardaient dix mètres devant eux. Comme en voiture en fait. Aux cours d’auto-école, on apprend à regarder loin devant. Regarder la voiture de devant nous inciterait à lui rentrer dedans.
Donc on prend exemple sur les sportifs de haut niveau: on regarde en avant et rien qu’en avant. Le passé, on le laisse au passé.
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